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21
2021
Très Haut Débit : le gouvernement donne un coup d’accélérateur

Alors que la crise sanitaire et sociale a, plus que jamais, mis en exergue la nécessité d’un accès numérique pour tous, le gouvernement français s’est récemment mobilisé pour accélérer le déploiement de la fibre optique.

Une démarche qui s’inscrit dans la dynamique du plan de relance et se traduit, en pratique, par une enveloppe supplémentaire de 570 M€. Avec un objectif pour le moins ambitieux : celui d’atteindre une couverture générale du territoire à l’horizon 2025.

Précision : à ce jour, plus de la moitié des locaux français, soit 22 millions de foyers et entreprises, sont desservis par un réseau en fibre optique. 2/3 des locaux peuvent, par ailleurs, accéder à un réseau très haut débit filaire, toutes technologies confondues.

Généraliser la fibre optique pour résorber les fractures numériques

Dans le détail, cette rallonge budgétaire devrait principalement concerner 11 territoires, dont notamment la Bretagne (150 M€), l’Auvergne (123 M€), la Manche (46 M€) et la Dordogne (45 M€), qui se sont vu attribuer les parts les plus importants du plan de financement. Et pour cause, puisque les besoins numériques identifiés par le gouvernement y sont particulièrement nombreux.

De quoi permettre aux réseaux d’initiative publique qui, jusqu’à présent, ne disposaient pas encore d’un plan de financement dédié, d’accélérer le déploiement du très haut débit pour lutter contre les fractures numériques et offrir, d’ici 2025, un accès à la fibre optique à l’ensemble des citoyens français. Y compris dans les zones rurales qui, auparavant, n’avaient pu profiter du Plan France Très Haut Débit.

Avec cette ultime rallonge budgétaire, le soutien accordé par l’État français au déploiement de la fibre optique atteint un montant global de 3,6 Md€. Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.amenagement-numerique.gouv.fr

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Je viens de changer d’activité professionnelle. Comme je ne suis plus placé sous le régime des travailleurs non salariés, j’envisage de transférer les capitaux figurant sur mon contrat retraite Madelin vers un Perp que je vais ouvrir pour l’occasion. Ce transfert aura-t-il des conséquences fiscales ?

Rassurez-vous, il n’y aura aucune conséquence fiscale liée au transfert de vos droits Madelin sur un Perp. Étant précisé, par ailleurs, que ce transfert ne remettra pas en cause la déductibilité des cotisations que vous avez versées sur votre contrat Madelin de l’assiette imposable de vos bénéfices. Autre information, la fiscalité applicable aux prestations versées lors du départ en retraite est identique sur les contrats Perp et sur les contrats Madelin. En revanche, si vous effectuez des versements sur votre Perp, ces versements ne seront pas fiscalisés de la même manière que ceux effectués sur un contrat Madelin.

Je suis propriétaire de plusieurs étangs. Ces étangs doivent-ils être inclus dans l’assiette de l’impôt sur la fortune immobilière (IFI) dont je suis redevable ?

Les biens immobiliers non bâtis tels que les étangs sont, en principe, imposables à l’IFI (sous réserve, bien entendu, que la valeur nette du patrimoine de l’intéressé soit supérieure à 1,3 M€). Toutefois, ils sont, à certaines conditions, exonérés d’IFI lorsqu’ils sont affectés à l’activité professionnelle principale du contribuable et lorsque cette activité revêt un caractère agricole. Ainsi, par exemple, des étangs affectés à une activité de pisciculture sont exonérés d’IFI.

En outre, lorsqu’ils sont donnés à bail à long terme à un exploitant, ces biens sont exonérés d’IFI à hauteur des trois quarts de leur valeur jusqu’à 101 897 € et à hauteur de la moitié au-delà de 101 897 €. Mieux, l’exonération est totale, quelle soit la valeur des biens, lorsqu’ils sont donnés à bail à long terme à un membre (proche) de la famille du propriétaire qui les utilise pour son activité principale.

Cette année, pour élire les membres du conseil d’administration de notre association, nous souhaitons remplacer le vote en assemblée générale par un vote par correspondance. Mais nous avons un doute sur sa faisabilité dans la mesure où les statuts associatifs ne prévoient pas cette possibilité. Qu’en est-il exactement ?

Si vos statuts sont muets sur cette modalité de vote, vous ne pouvez pas l’organiser ! En effet, le vote par correspondance ne peut être utilisé dans le cadre d’une assemblée générale que si les statuts de l’association le prévoient. Le vote par correspondance organisé alors que les statuts de votre association ne l’autorisent pas encourt le risque d’être contesté et annulé en justice. Il vous faut donc modifier les statuts.

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